![]() 2006 |
Génération Rock & Folk : 40 ans de culture rock. Novembre 1966. Dans un petit pavillon de la rue Chaptal, à Paris, une poignée de passionnés de jazz, de blues et de rhythm and blues réunis autour de Philippe Koechlin donne naissance à un nouveau magazine de musique. Son nom ? Rock&Folk. Novembre 2006. Quarante ans après, sous la conduite d'un authentique enfant du rock nommé Philippe Manoeuvre, Rock&Folk est toujours vivant...Génération Rock&Folk relate le destin d'exception d'un magazine qui aura marqué l'histoire de la presse contemporaine et fait naître de nombreuses vocations de journaliste, d'écrivain, de photographe ou de dessinateur. Mais ce livre raconte bien plus que l'histoire d'un journal. Il retrace l'émergence du rock, à la fois forme d'expression musicale et phénomène de société. Des premiers échos de l'électricité au retour du rock à guitares à l'aube des années 2000, des grands festivals des seventies aux nouveaux sons portés par la techno, de la vague punk à l'explosion rap, Rock&Folk s'est toujours voulu le reflet des tendancesnouvelles et de la renaissance permanente de cette musique. Il fait revivre l'épopée de la contre-culture. Avant Rolling Stone ou Actuel, Rock&Folk a défendu cette culture parallèle venue d'Angleterre ou des États-Unis et qui réinventait une manière de vivre. Au-delà du rock'n'roll, Rock&Folk s'est intéressé aux autres musiques, au cinéma, à la littérature ou à la bande dessinée. Il reflète les grands chambardements intervenus dans la France des années 1960 à aujourd'hui. Dès ses débuts, Rock&Folk s'est senti concerné par les mouvements de société. Le magazine était un signe de reconnaissance et un lieu de rencontre pour tous ceuxqui ne se retrouvaient pas dans les courants culturels dominants. Rock&Folk a permis à plusieurs générations d'inventer de nouvelles manières d'écrire. Il a révélé quelques-unes des " plumes " les plus imaginatives et les plus enthousiasmantes de ces quarante dernières années. Autant de signatures que l'on a ensuite retrouvées un peu partout dans la presse et dans l'édition, à la télévision et à la radio. Raconter l'histoire de Rock&Folk, c'est aussi évoquer celle de ses " enfants naturels ", d'Actuel à Canal + et de Métal hurlant aux Inrockuptibles. Récit vivant et documenté, enrichi de nombreux extraits d'articles qui plongent le lecteur au coeur de la saga de ce magazine pas comme les autres, Génération Rock&Folk est le résultat de deux ans d'enquête menée à travers quelque cent vingt entretiens. Génération Rock&Folk, ou quarante ans de littérature au service du rock'n'roll...
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Le critique rock, le fanzine et le magazine : « Ça s’en va et ça revient » Les fanzines et les magazines sont des médias d’importance au sein de la presse rock. Ils renvoient tous deux à la figure du critique rock qui travaille tantôt pour l’un, tantôt pour l’autre, voire pour les deux à la fois. Cet article entend montrer comment s’effectue cette circulation en prêtant attention aux trajectoires de plusieurs critiques de la presse rock française. Ce qui permettra de mettre en évidence certaines réalités concrètes de la presse musicale... suite de l'article |
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![]() 2007 |
Mémoires de Rock et de Folk Commencées avec le twist, terminées à la belle étoile de Woodstock, les années 1960 connurent la révélation du blues, le free-jazz et l’éclosion de la culture rock. Les prophètes se nommaient Ray Charles, John Coltrane, les Beatles ou Bob Dylan, et Rock & Folk est né en ce temps-là. Grâce à ce magazine, des « témoins inspirés » ont vécu leur première passion. Plus de quarante années se sont écoulées. Des ivresses romantiques aux années cyniques, Mémoires de Rock et de Folk raconte l’aventure d’une musique à travers l’histoire d’un journal telle que l’a vécue son fondateur, entre anecdotes, sentiments, jazz et rock.
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![]() 2008 |
Dictionnaire raisonné de la littérature Rock On n'écrit pas " sur " le rock. Mais on écrit rock. Sans même le faire exprès. Parce que c'est ainsi. Parce que, simplement, le rock est comme un prisme. On voit les choses à travers. Il y a donc une littérature rock. Comme il y eut une littérature Beat. Et c'est d'ailleurs peu de dire que l'une est fille de l'autre. Grâce à eux, de Hunter S. Thompson, qui popularisa ce qu'on appela le style " Gonzo " (la vie, la vie avant tout. Et le sexe, les drogues et le rock and roll bien sûr...), à Lester Bangs. De Tom Wolfe à Nik Cohn, les bouleversements des sixties, cette improbable aventure cosmique, ont trouvé les mots pour le dire. En France... ils sont venus les Jean-Jacques Schuhl, Dashiell Hedayat, Yves Adrien. La littérature française qui compte leur doit tout. Comme elle doit tout à Rock and Folk et à peu près rien au nouveau roman. Désolé, c'est ainsi. Denis Roulleau a patiemment compilé, commenté, annoté... Bref, c'est une somme. Et le dictionnaire de ces plumes. Ces plumes qui dansent. Patrick Eudeline. |
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![]() 2010 |
ROCK CRITICS Jamais encore un ouvrage n'avait réuni les auteurs, cultes, de la génération rock : Armanet, Ardisson, Assayas, Bayon, Bigot, Chalumeau, Dordor, Garnier, Gorin, Kent, Loupien, Nick, Paringaux, Romance, Viviant etc.Ici, on retrouve des articles ou reportages historiques pour Rock&Folk, Best, Actuel, Libération, Rolling Stone, Les Inrocks, autant de textes qui ont inspiré, et parfois fâchés, deux générations d'écrivains, de journalistes, de musiciens, de dessinateurs, d'artistes.Ce recueil est l'occasion de (re)découvrir des plumes fulgurantes, numéros de funambule, figures de style, humeurs, allant du plus littérairement classique au plus déjanté, de la compassion à la provocation, de l'érudition à la métaphysique, toujours avec maestria, aplomb, esprit, posture, et opinion.Ceux dont il est question, de Gainsbourg à Kurt Cobain, d'Elvis à Michael Jackson, de Phil Spector à Joy Division, des Everly Brothers à Paul McCartney, de Michel Polnareff aux Clash, de Bob Marley à Brian Wilson, de |
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![]() 2011 |
PRESSE PARALLÈLE :La contre-culture en France dans les années 1970 La presse parallèle se veut libre; on la dit sauvage, alternative, révolutionnaire... Elle est un appel à l’émancipation, une invitation à la révolte, l’incarnation d’une différence. S’opposant aux injustices et aux conventions, la presse parallèle propose le changement. Elle est l’outil privilégié de la contestation, l’incarnation de la contre-culture qui a vu le jour, en France, dans le sillage de Mai 1968. A la fois support et média des luttes, cette presse underground fédère les énergies des marges. Elle donne à entendre une parole libérée qui se répand dans tous les domaines de la société et génère autant de mouvements d’émancipation et de remise en cause dans le système dominant. Précurseurs, Actuel et Rock et Folk sont vite suivis par Libération, L’Idiot International, L’Enragé, Tout !, Le Parapluie. Les femmes et les homosexuels s’émancipent avec Le Torchon brûle, L’Antinorm, Le Fléau social, la pop et le rock ont droit de cité avec Best, Le Pop, Extra, la BD voit naître Zinc, Fluide Glacial, L’Echo des savanes, l’écologie trouve dans La Gueule ouverte son premier organe. Tous participent de ce mouvement underground que Steven Jezo-Vannier analyse sans nostalgie, mais qui avertit : “La contre-culture des années 70 a bravé les interdits; aujourd’hui, il est temps de résister contre leur retour.”
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Dos |
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Les Inrockuptibles, 25 ans d'insoumission 1986-2011. « À l'impossible, on est tenu ». Telle pourrait être la maxime accompagnant cette poignée de lycéens versaillais qui, en 1986, publient le premier numéro d'un trimestriel rock à la charte graphique sobre et élégante, au traitement journalistique différent des autres publications de la presse musicale : des interviews fleuves inédites, des portraits noir et blanc intimes, éloignés des photographies de presse vues et revues, et le ton résolument insoumis d'une jeunesse cultivée, contestataire, aux convictions propres à une rédaction qui aime faire du bruit. Une rédaction qui a, dès les premiers jours, la certitude qu'une autre scène rock existe. Les Inrockuptibles est né, et la faune de la « rock critique » va désormais devoir compter sur toute une nouvelle génération de journalistes passionnés et tapageurs. En mars 1992, la parution des Inrockuptibles devient mensuelle. La revue est alors reconnue pour la qualité de ses entretiens et la mise en avant d'artistes français inconnus du grand public. En 1995, c'est l'année du plus grand défi qu'osera se lancer la rédaction des Inrocks : la revue change de format et devient hebdomadaire. Le magazine se veut alors ouvertement généraliste, traitant tant de musique que de cinéma, de littérature, de société, de télévision... 15 ans plus tard, une nouvelle mutation majeure s'opère : le 14 septembre 2010, Les Inrockuptibles lance une nouvelle formule dont l'ambition est désormais de devenir un hebdomadaire politique, social et culturel, toujours porté par l'esprit rock de la rédaction. Pour fêter les 25 ans du journal, il est temps de faire le bilan de plus de 860 numéros, de plusieurs milliers d'articles et de chroniques. Les Inrockuptibles, qu'est-ce que c'est ? Une somme considérable de décryptages face à n'importe quel mouvement, qu'il soit artistique ou social, une immense dévotion envers les plus grands artistes de leur temps, et une dose conséquente d'audace mise au service d'un autre journalisme rock qui ne laissera jamais sécher sa plume un journal engagé politiquement, découvreur de talents et aujourd'hui tant prescripteur culturel que média analysant les intempéries de la société française ou des politiques étrangères. Dans ce livre rétrospectif, véritable anthologie des Inrockuptibles époque fanzine, bimestriel, mensuel et hebdomadaire, vous pourrez découvrir les moments forts de plus de 150 interviews d'artistes qui ont marqué l'histoire de la musique, de la littérature, du cinéma, de la politique ou des idées, et lire plus de 220 chroniques qui retracent le panorama et l'évolution culturelle de ces 25 dernières années, où l'impossible ne fut jamais une limite.
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